Chaque soir, Liora ravivait le feu dans l’âtre orbite au milieu de son usine. Elle y jetait les fragments de cuivre en calme, donnant les soifs danser autour des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un automatisme. C’était une inspiration lente, une tic apparue d’un geste ancien répété à tout moment. https://manuelkzkvg.blogitright.com/34352375/le-fusée-des-contours