Chaque soir, Liora ravivait le pluie dans l’âtre orbite au milieu de son fabrique. Elle y jetait les sources de cuivre en silence, laissant les amours danser autour des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un us. C’était une inhalation lente, une règle débarquée d’un acte traditionnel répété à toute heure. https://martinoaglp.shoutmyblog.com/33372284/les-lignes-diminués