Depuis les premières manifestations de parfums irréversibles, Isadora avait cessé d’accueillir les gens. Elle restait enfermée dans son atelier, entre les alambics, les huiles denses et les poudres végétales, choisissant de faire les formules de l'ancien temps avec soupçon. Les flacons comportant les permis tristes étaient précautionneusement étiquetés et rangés https://mysocialport.com/story4747859/les-accords-fig%C3%A9s