Chaque matin, avant l’arrivée du naturel visiteur, la guérisseuse descendait dans l’ossuaire en vacarme. Le sol était extrêmement sourde, même par-dessous les chaleurs écrasantes de la saison. Là, prêts de près sur des dalles brisées, les crânes l’attendaient. Elle ne les touchait jamais sans un pratique de épuration, en intégrant https://lauriana55432.blogstival.com/56014716/les-os-qui-souhaitent