Dans l’enceinte admirablement hermétique du foyer d’appels, les opérateurs continuaient à répondre aux sollicitations anonymes, bercés par le rythme monotone de leurs shifts, l’esprit oscillant entre sollicitude mystérieuse et pauvreté diffus. Chaque voyant recevait des flux sensoriels via une interface adaptative, ajustée à son profil cérébrale. Aucun contact visuel, zéro https://louisubfjm.blogdomago.com/32878887/le-foyer-d-appels-des-disparus