Le calme des ruches persistait. Les abeilles, d’ordinaire sensibles à bien la présence humaine, ne réagissaient plus à bien aucune vitalité mentale. Elles restaient figées, collées aux parois internes des structures hexagonales, comme paralysées par un sens invisible. La gardienne du sanctuaire observait sans opérer, consciente que tout dérèglement dans https://knoxwxwso.digiblogbox.com/58697937/les-jardins-de-cristal