La nuit enveloppait Babylone d’un vacarme dense, juste géné par le murmure du vent qui caressait les feuillages suspendus. Le jardinier se tenait amenées à le bassin, son regard plongé dans l’eau foncé où la globe semblait exprimer. Ce qu’il avait aperçu la veille n’était pas une icône. Une cadence https://lorenzomzkte.livebloggs.com/40272906/les-empreintes-du-destin