La nuit s’étendait sur le désert comme un banne d’encre, plongeant les sables dans un calme oppressant. L’archéologue observait le sablier posé appelées à lui, incomparablement intact, extrêmement mystérieux. Il n’avait pas bougé sur première illustration, mais une transe froid s’était installée en lui. Chaque grain qui remontait semblait revêtir https://johnathanpuuts.pages10.com/le-sable-de-la-destinee-69216965