La nuit tombait légèrement sur paris, enveloppant les toits d’une ombrage diffuse que seules les lanternes venaient peiner par intermittence. Dans le silence de sa chambre, Éléonore Duprey fixait la seconde lettre posée devant elle, son regard oscillant entre sympathie et frayeur. La voyance, qui jusque-là n’avait compté pour elle https://davidd011xtm5.onzeblog.com/profile